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Moussaillons, à l’abordage ! Dans Piratatak vous devez être le premier joueur à avoir construit votre bateau. Pour le construire, il vous faudra piocher des cartes dans une pioche commune et récupérer toutes les pièces qui le compose. Mais attention, si vous tombez sur une carte pirate, votre tour s’arrête et vous êtes pénalisé.
Toute la subtilité du jeu tient dans ce principe de « stop ou encore ». Tant que l’on pioche de bonnes cartes, on a le droit de continuer de piocher, ce qui peut être très tentant mais aussi risqué.
Le jeu se compose de 55 cartes placées faces cachées en une pioche en début de partie. Le premier joueur peut retourner une carte et la placer dans son jeu. Si c’est un morceau de bateau coloré, il indique la couleur du bateau que le joueur devra construire.
Les 55 cartes ont différents effets :
De par sa thématique, le jeu donne déjà l’envie d’y jouer aux plus petits qui s’inventent des histoires de terribles combats en mer et de trésors dérobés.
La mécanique de prise de risque et le bateau à construire en accumulant des cartes comme dans un petit puzzle rajoutent au plaisir de jeu. Sous ses airs simples, il implique un peu de stratégie et concentration.
Piratatak est un incontournable des goûters d’anniversaires et des après-midis jeux. Il existe également dans une version sorcières « Diamoniak ».
On apprécie aussi la règle de jeu simplifiée dans laquelle on ne pioche qu’une carte à la fois (si le principe de stop ou encore est un peu trop difficile à assimiler).
Contenu : 55 cartes. Règle du jeu en 10 langues.
